lundi 28 décembre 2009

DE CLICHY À ANNECY : morts dans l'œuf, ou fusions ?

C'est difficile à croire, et à à admettre en tant qu'initiateur du projet, mais cela doit faire au moins des mois que je n'avais pas réalisé des modifications aussi importantes dans DCAA. Elles sont au moins de l'ordre de l'époque où j'ai numérisé mes brouillons (hrum, disons retapé pour être plus concret).

Ainsi, parmi les personnages, les têtes sautent, ou plutôt elles n'ont pas le temps d'apparaître, puisque dans mon projet de réduction du nombre de personnages, il y a des morts (au moins deux faux personnages) et ceux qui ne sont jamais nés.

Alors que j'allais statuer sur le sort d'un personnage qui s'avère être un personnage clé, je réalise que plutôt qu'une vraie non-naissance, c'est plus d'une fusion dont il s'agit. Cette solution de fusion m'évite bien des embarras (les personnages m'obligent à faire sortir Léo de ses traits habituels), mais annonce aussi bien des réécritures et des adaptations...Ne serait-ce que pour conserver un symbole/hommage qui me tient à cœur.

Si mon cœur a pris sa décision, mon cerveau n'a pas encore fait le deuil de l'esprit actuel des brouillons et en mesure les conséquence. Une fois cette difficile et délicate décision entérinée, ce ne sera que du bonheur pour la suite.

Puis m'autoriser de nommer les personnages concernés ? Allez, il le faut bien...Il s'agit de Nicole, l'experte en chimie, Alana, la sœur de Sylvain, et Emilie, l'étudiante en médecine Annecienne depuis peu....

dimanche 13 décembre 2009

DE CLICHY À ANNECY : et si d'un projet j'en faisais deux ?

Non, ce n'est pas un hasard d'emploi du temps qui me donne l'occasion de poster, comme c'est souvent le cas.

J'ai l'impression que je vais dire des énormités dans les lignes suivantes, mais je pense que je n'exagère en rien mes propos.

J'ai l'impression d'être à une période de prise de conscience de l'enfer que va me réserver ma vie. Comme ce blog n'a pas vocation d'être autobiographique je vais me limiter à cette image. Je suis tel l'humanité il y a quelques millénaires, qui prend conscience de sa finitude, et comme ces premiers hommes qui ont pris conscience que tôt ou tard, il devaient mourrir. S'il ont fini par conclure que cela était inacceptable et ont inventé des "parades psychologiques", je n'en suis pas encore là, et je cherche ces parades afin de diminuer mon angoisse. Peut-être finirai-je par accepter mon sort voire à "me rendre immortel", mais bon...

Il n'en fallait pas moins pour rendre mon inspiration bouillonnante. À un tel point que je ne m'écoute pas et m'efforce d'écrire à petite dose. Je n'ai pas vraiment le choix puisque l'écriture ne me fait pas vivre (loin de là...) et désormais, j'ai l'impression d'établir mon testament à chaque fois que j'écris (et c'est très désagréable).

Du coup, Léo en arrive à conter au narrateur des choses beaucoup trop personnelles pour que ce schéma ("t'es sympa alors je te raconte tout") tienne. Alors l'idée m'est venue de faire une partie "Clichy" avec des interventions de Léo "simplifiées" et une partie "Annecy" où Léo est son propre narrateur. Et là, magie...Non seulement je peux me débarrasser de nombreux artefacts et solutions de rafistolage que j'avais imaginées, mais en plus, mes écrits côté "Annecy" sont plus libres de par leur contenu et leur agencement chronolgique (car au départ, c'était "une journée à Clichy, un évènement à Annecy).

"Alors, où est le mal ?" me direz-vous ? Il est que le recul de la censure que j'imposais sur mon travail est en quelques sorte une sécurité en moins. Une autre image pour comprendre. Quand j'écris, c'est un peu comme si je traversais un petit barrage hydroélectrique sur son sommet (mais un sommet étroit, de 50cm de large seulement). La censure, c'est un peu comme les garde-fou. On a peur de s'y cogner, aussi on avance doucement. Or sans ces derniers en ce moment, j'ai une folle envie de traverser en courant ! Or je sais plus que jamais qu'une chute pourrait me dégouter durablement d'une telle entreprise. D'un autre côté, comme je ne publie pas mes brouillons, c'est un peu comme si je faisais cette traversée virtuellement.

Les choses vont très vite en ce moment, et ce qui est vrai aujourd'hui ne le sera peut-être plus demain. À l'heure où j'écris cette phrase, j'ai très envie de me débarrasser d'un ou deux personnages (dont Éric, le traite), mais je ne sais pas qui mettre à sa place (il me faut absolument un Judas pour ce passage !). Et surtout, il faut que je mette ma chronologie à jour !!

Je vous tiens informé de l'évolution des évènements....

mercredi 9 décembre 2009

DE CLICHY À ANNECY : un nouveau début, de nouvelles idées.

Et hop ! Je vous balance un nouvel écran de fumée autour d'un projet qui doit paraître aussi peu concret au vu des présentations des personnages que je n'ai pas faite.

Mais voilà, j'ai connu une nouvelle période d'inspiration, qui perdure encore d'ailleurs (quoique moins intense maintenant), et celle-ci m'a obligé à faire quelques concessions.

Ces concession concernent la chronologies des premières années évoquées par Léo. Pour faire court, j'ai du faire plus simple, plus "direct", mais aussi qu'une seule situation et qu'un seul chemin qui y mène. Ce qui devrait rendre cette partie moins "vide de sens" (moins "je raconte quelque chose histoire de dire qu'il s'est passé quelque chose avant"), et plus déterminante, ce qui la rend plus intéressante. En revanche j'ai du forcer un anachronisme grave, je travaille sur sa justification, ainsi qu'à trouver l'élément-clé déclencheur de la rencontre (l'ancien scénario me paraît en effet, au vu de la cohérence du nouveau contexte, tiré par les cheveux).

N'`hésitons pas à être concret pour une fois. La transition "fin 98-début 99" se limitera pour Léo à la rencontre de Nicole, où j'ai posé un contexte de remise en question du personnage qui justifie le contexte dans lequel il va rencontrer Émilie. D'un autre côté, je réutilise le fait qu'il s'est mis à la musique pour bien appuyer le cadre de cette fin d'année et de cette rencontre. Les détails "superflus" se limite au cadre de la rencontre (une soirée entre camarades de promo), et à la requête de Léo auprès de Sylvain qui fait entrer en jeu sa sœur ainsi qu'un certain nombre d'éléments en jeu en 99. Du coup, et malheureusement (ou heureusement ?) pour les personnages concernés, j'ai trouvé tout naturellement une "jonction entre situations" par la mort de deux personnes (qui ne sont pas dans la trame, donc pas vraiment des "personnages"). Je sais, cette solution peut paraître ignoble, mais les personnages concernés me remercieront tôt ou tard car il fallait une justification suffisamment forte à leur situation future (dès 99 donc....). Il me reste donc à finir d'écrire cette période, et à assassiner ces personnes (eh oui ! l'idée m'est venu il y a vraiment très peu de temps !)

Finalement, heureusement que je ne vous ai pas encore présenté les personnages, car bien des éléments de la présentation aurait pu être faux. Je suis dans un mois et plus globalement une période difficile. Mais rien ne dit que je ne pourrais pas m'y coller pour la fin de l'année, au vu de ce que j'ai réussi à vous pondre avec une moyenne de 3h de sommeil par nuit....

mardi 18 août 2009

Blog de RValiasRACER

Eh non, le pilote vidéoludique que je suis n'est pas mort !

Sommeillant au fond de ma personne tourmentée par ces temps difficiles, l'ampleur de son réveil à venir est telle que j'ai décidé de lui dédier un espace perso. Fini le mélange des genres, chaque visiteur qui s'intéresse à l'une ou à l'autre de mes activités personnelles pourra trouver ce qui l'intéresse sans faire le tri dans d'innombrables billets.

Ce nouveau blog se trouve ici :
http://rvaliasracer.blogspot.com/

En cas d'oubli de l'adresse, souvenez vous qu'il s'agit de mon surnom vidéoludique, RValiasRACER. Avoir un pseudo aussi typé course n'est pas gênant puisque je ne joue qu'à des jeux de course.

En vous souhaitant bonne lecture dans l'un ou l'autre de mes deux blogs,

jeudi 13 août 2009

DE CLICHY À ANNECY : un résumé explicité ?

Comme vous avez pu le voir en fouillant mon blog (désolé d'entraîner les plus curieux à la recherche d'une aiguille dans une botte de foin), il existe un résumé de l'œuvre complète...Enfin...D'une partie de l'oeuvre du moins.

Celui-ci sert à présenter succinctement mon projet, mais à part ça il ne m'est d'aucune utilité. C'est pour cela que je trouve dommage d'avoir attendu le 12 août 2009. pour remédier à ce problème. Tout simplement parce que je n'avais pas posé ce dernier ! Comme on dit, un problème bien posé est à moitié résolu.

Grâce à ma "révélation" du 12 août 2009, ou plus prosaïquement, grâce à mon idée d'hier, quelque chose dans l'obscurité dans laquelle mon œuvre et moi nous nous trouvons, commence à ressembler à un bout de tunnel. Cette tâche lumineuse et encore trop flou pour certifier que ce soit le bout du tunnel qui se profile (et donc la chronologie en place, l'écriture qui s'achève...), mais je sens que c'est un outil qui me permettra d'avancer dans la bonne direction (pour être précis dans mon image, avancer dans une direction dont la composante tangentielle est significativement plus importante que la composante orthogonale).

Difficile de me donner une période de test, en temps normal j'aurais pu dire "je me donne un mois pour tester cela", mais dans les temps qui courent, c'est bien difficile de savoir si je serais en l'état (psychologique) de le faire...

Techniquement, ce résumé prend appui sur un calendrier texte que j'ai rédigé pour me repérer dans la chronologie. Les éléments du document existant deviennent tout simplement des titres et des sous-titre dans le résumé. Ce résumé sera purement chronologique, comme le calendrier sur lequel il s'appuie. Après cela, il me restera à mettre au point les imbrications "Annecy-Clichy" et les nombreux "flashback" voulus par la forme du récit.

Cela m'obligera du coup à faire au moins deux calendrier, un calendrier "Annecy" (le principal, puisqu'il s'étale sur 10 ans), et un calendrier "Clichy" dont l'idée m'était venu avec celle d'un fil conducteur qui me permettrait de mettre en ordre mes productions. Il y aura peut être un troisième calendrier, qui sera plus proche de la trame narrative (les flashbacks était là où ils ont été évoqué et non là où ils ont eu lieu), voire une version intermédiaire dédié à la mise au point des flashback, et peut-être bien d'autres encore !

En attendant, cadeau, et même gros cadeau. Je mets en place des liens dans les titres des billets "DCAA" vers le résumé de l'histoire... Pour y accéder, cliquez sur le titre du billet.

mardi 19 mai 2009

DCAA : vers un peu plus d'ouverture ? (EDIT du 24/03/2011)

Bon. Lançons le Scandale, sinon ce billet n'aurait pas lieu d'être.
Il se trouve que bon nombre des personnages principaux sont à mon image. "Très bien ! " me direz-vous. Sauf que je suis aphrophobe et érotophotobe (par dégoût, pas par angoisse ou je ne sais trop quoi). Du coup, je suis très vite devenu nuptaphobe (Désolé, si je me suis permis cette liberté, c'est que le mot, évident au premier abord, n'existait pas)

Si l'on n 'avait pas compris ce point, il n'est pas étonnant de voir que les relations entre mes personnages principaux sont ambivalentes ou ambigües par moment.
Ainsi, d'un côté, on se demande pourquoi deux gars ont choisi de vivre ensemble alors que l'un d'eux a une petite amie, à l'inverse, Le couple formé par ce dernier et sa copine est pour le moins "léger", alors qu'il forme le couple le plus "solide" de l'intrigue. Quant à Ernest, marié, il est associé à toutes les tares possibles : fumeur, ayant des gosses, croyant.


Dans un premier temps, je me suis dit qu'il était insongeable d'écrire une histoire où il n 'y aurait que des célibataires. C'est d'ailleurs le rôle que joue Ernest, le rôle de "modérateur". Puis, il y a ce flou artistique à propos d 'Alexandre et Ilizana, et cette histoire autour de Léo. Quant à Sylvain...c'est pas mieux pour ceux qui savent lire entre les lignes



Il serait intéressant de revenir sur Léo. Il s'agit d'un cas assez paradoxal. Ce sera l'objet d'un billet prévu pour fin mars 2011

dimanche 10 mai 2009

Rien de nouveau pour DDAC

Les semaines se suivent et se ressemblent...J'annonce des nouveautés pour le blog sans pour autant les honorer.

Mon excuse du moment est simple : je vis des mois particulièrement difficiles et pourtant très cruciaux. Ainsi, si j'ai connu un sursaut de publication il y a peu de temps, c'est parce que, pendant un moment, cela m'a aidé à tenir, à garder le moral et de l'espoir au vu de ma situation. Du coup, quand la réalité a repris le dessus, je suis retombé dans mon silence radio.

Même si j'ai très envie d'écrire en ce moment, je n'y arrive pas du coup, car je ne suis absolument pas inspiré (cela m'amène au mieux à écrire quelques lignes "idées", résumant sans phrase le fil de l'histoire que j'aimerais développer, peu enthousiasmant). Mais souvent, c'est plutôt le contraire, je suis très inspiré, mais soit je ne trouve pas le temps, soit je ne trouve pas la motivation pour m'y mettre, s'en suit une intense et insoutenable frustration...

Bon sinon, un peu de bonnes nouvelles, ou de concret : Si l'histoire de Léo semble rocambolesque, ce n'est rien à côté du scénario qu'imagine le personnage sur le pourquoi de tout cela, avec toute une histoire romanesque qui tombe dans le policier ou des intérêts de lobbys pour pimenter le tout. Je n'en dis pas plus pour le moment, je réfléchirais en temps voulu à comment présenter ça sur le blog.

En espérant que tout s'arrange pour que je puisse publier sereinement...

dimanche 8 mars 2009

Un engagement politique dans DCAA

...ou comment en suis-je arrivé à parler "anti-diesel" dans De Clichy À Annecy.

Tout a certainement commencé lors de la rencontre de Céline (pas une vraie Céline, un personnage de mon récit). Ce personnage, né d'un des mes brouillons à inspiration "peu orthodoxe" est un chauffeur de taxi (c'est comme ça qu'on dit pour une fille ?), qui a l'immense chance de travailler à bord de la nouvelle Classe S....Essence. Très vite, je ferais le rapprochement entre Céline et "la redoutable Mercedes de la course de fin 2000. Mais ce n'est pas avec cette course que Céline prendra de l'importance.

En effet, à l'époque où j'écrivais ce passage, j'ai été victime d'une haute trahison d'un des meilleurs amis. J'ai donc décidé de créer un chapitre parlant de la trahison entre amis. Heureusement que je ne me souviens plus de cette trahison car sinon la clause "tout ressemblance avec des personnages ou des faits réels serait purement fortuite" sauterait.

Cette trahison, elle est simple : c'est l'histoire d'un chercheur, ami de Léo, qui s'est vendu politiquement parlant afin d'avoir des fonds pour sa recherche. Ceci faisant, il a pris le parti du marché diesel en obtenant pour le compte d'un grand constructeurs des accords politiques. Du coup, son labo est passé d'une petite salle à plusieurs étages du centre de recherche où il travaillé. Son véhicule de fonction était une Passat....TDI.

Léo ne pouvait resté indifférent à cette situation, il a donc fait jouer son association et son entourage pour contrer cette décision politique. Le chapitre "anti-diesel" était né.

J'ai alors ouvert un chapitre sur le début de la polémique. Cela nous renvoie à fin 2000, où eu lieu la crise de la BAE, qui s'est monté contre la BAD.

Très récemment, c'est Alana, la sœur de Sylvain, qui a rejoint le combat pour des raisons que je n'évoquerais pas ici. Elle y a pris part par le biais de l'emission "Top Gear".

DE CLICHY À ANNECY : mes nouvelles idées.

La chronologie est un véritable point noir lors de la rédaction des brouillons. En développant une idée, je tombe vite sur des impasses ou des anachronismes grotesques. Mes solutions de calendriers s'avéraient peu exploitables et pas assez explicites. De plus, je devais les combiner pour arriver à quelque chose de "parlant", ce qui me prenait un demi-bureau de calendriers.

Dans le même, avec le travail sur la disparition de Sylvain, j'ai dû donner de l'importance au personnage qu'est sa sœur, dont je devais parler à un moment ou à autre. Il se trouve qu'elle est malheureusement tombé dans le plat antidiesel (voir billet de la semaine prochaine).

Pour moi, cela faisait surtout un personnage de trop. En effet, comment parler de personnages principaux s'ils sont une dizaine à avoir ce statut. Il me fallait faire "le ménage". Mais comment ? Impossible de supprimer des personnages "comme ça", pour des raisons pratiques ou affectives (eh oui...).

En cours de math, j'eu l'idée que je ne savais pas encore géniale de lister ces personnages, sans but particuliers.

Je vous ferais part de cette liste au cours d'un prochain billet, je profiterais de l'occasion pour décrire succinctement chacun des personnages. Par la suite, je pourrais développer cette présentation.

Puis, je me suis dit "Et si j'arrivais à fusionner des personnages" ? J'ai trouvé une paire que je pourrais fusionner.

Mais un autre détail m'est apparu : la liste elle-même faisait appel de manière criante à la chronologie. J'ai donc décidé de noter, à côté de chaque personnage, leur dates d'apparitions ("et de disparition") dans l'œuvre.

C'était ça, l'idée génial ! En fait, ce n'est pas tellement que la chronologie décide de ces dates, mais que les personnages sont des repères-clés pour la chronologie. Voilà sur quoi je vais travailler sur ces prochains jours, en parallèle de mon travail de relecture et de la sœur de Sylvain.

DE CLICHY À ANNECY : quelques nouvelles du projet.

Avec le retour de conditions suffisamment "potables" pour écrire, j'ai repris il y a peu mes brouillons. Mais je me suis lancé dans un autre projet : la relecture.

Je relis tous les textes que j'ai écrit pour ce projet, sans impasse (y compris les brouillon de chapitres que vous n'aurez pas !). C'est par moment tellement mal écrit que cela en devient une corvée, corvée que j'estime nécessaire pour récupérer de bonnes idées.

J'ai commencé tard ma prise de notes, ce qui m'obligera sans doute à relire les premiers passages.

Pour la rédaction des nouveaux brouillons, j'ai revendu mon EeePC qui ne fonctionnait plus pour revenir à mon stylo à enregistrement numérique. Comme j'ai pas mal de note à récupérer dessus, cela me fera faire d'une pierre deux coups.