mardi 18 mai 2010

De CLICHY À ANNECY : au comble de l'autodérision

Personne n'est à l'abri d'un sale tour, d'une journée où la poisse des derniers temps monte en mayonnaise pour provoquer un cocktail détonnant de mauvaises surprises.Et en général, on n'est pas d'humeur après des jours comme ça.


J'en parle, car le pire du pire m'est arrivé (enfin cela aurait pu être pire mais c'est déjà pas mal comme ça...), et cela ne m'a pas mis en rogne, bien au contraire ! Ma journée a été si pathétique que j'avais envie d'en rire par moment, je me croyais alors dans une sitcom britannique. 


Cela m'a marqué au point que j'ai décidé de faire un clin d'oeil à cette journée dans la trame. L'action se passera fin 2004. Une organisation dont je tairais le nom frappe un grand coup, et Léo est plus ou moins concerné par cette opération.


Je n'avais pas eu l'occasion de faire cette digression avant, alors je la fait, en courte cependant :
C'est impressionnant de voir à quel point il est impossible de prévoir l'évolution d'un tel projet. Je voulais lui donner une certaine tonalité (orientée surréaliste), mais bien d'autres aspects ont prit le dessus. Ce n'est pas plus mal, l'intrigue, par les considérations politiques qu'elle incorpore, me permet d'incorporer de l'action et du suspens sans que ça fasse "rajouté". Le passage que j'ai écris en est une bonne illustration. Il est d'ailleurs d'une qualité intrinsèque remarquable, puisqu'il est une histoire dans l'histoire, je pourrais presque le publier en tant qu'oeuvre à part entière. 


Une fois de plus, c'est difficile de savoir où peut mener la rédaction. J'ai réussi à renouer avec le surréalisme voulu dans mes débuts, d'une manière simple, mais efficace. J'en suis à un point crucial, une sorte de conclusion partiel, mais cette composante surréaliste m'empêche d'anticiper la conclusion.


Une fois de plus, ce sont les émotions fortes qui font le plus écrire, cette histoire dans l'histoire fait à elle seule 12 pages Word (5773 mots) ! Achevée, elle devrait en faire 15 !


Je suis fatigué aussi je n'arrive pas à mettre en forme mon billet pour annoncer la conclusion. Je voulais juste terminer en justifiant la nécessité de faire une nouvelle présentation de l'intrigue, ainsi que de révéler une surprise supplémentaire sous peu.

Aucun commentaire: