vendredi 20 août 2010

De Clichy À Annecy : faux départ....repos à Tahiti ?

La retrouvaille du précieux brouillon n'a malheureusement pas donné de suite. Un mauvais hasard a fait revenir tourments et préoccupations. Ayant déconnecté malgré moi, j'arrive à garder le contact avec la lecture (à défaut de l'écriture), grâce notamment à un magnifique ouvrage papier (je précise car je ne lis quasiment plus que des eBooks), Ravage, de René Barjavel. Je le cite car paradoxalement, il me permet un intense relaxation...


Plus sérieusement, outre le retour de Léo au Japon, cela fait un moment que je souhaite développer à Tahiti, pour l'inauguration du circuit de l'Île. Petite précision aux non-initié : dans DCAA, il se trouve que Gran Turismo ne propose que des circuits réels. Comme ce fait (un circuit à Tahiti) ne vous dit rien, cela veut dire tout simplement que les circuits fictifs du jeu sont réels dans De Clichy À Annecy. Parmi ces tracés, celui, ou plutôt ceux de Tahiti.


Ces circuits son fraichement inaugurés en 1997, et comme précisé dans les présentations de personnages, Léo prend part à l'inauguration. Le but (avoué ou non ?) de Léo et de sa manager étant de se faire remarquer par les grands noms du sport automobile, qui sont tous présents. Ce sera chose faite d'ailleurs, je détaillerais à l'occasion le parcours de Léo en Séoulie.


Se faire remarquer c'est bien, vivre lorsque l'on n'est pas sur la piste, c'est pas mal non plus. Une anectdote à ce sujet...non deux, je ne peux m'empêcher de glisser la première dans ce billet car j'ai noté une coïncidence troublante (et j'adore les coïncidences !)

Tu fais quoi quand t'es pas sur ton pc ?
Je ne comprend pas la question.


Vu sur Bash fr (pour ceux qui connaissent =) Sinon allez faire un tour sur le rétrolien)


Léo, d'un naturel taquin, avait un gros défaut pour les jeunes de son époque. Il n'était jamais parti en vacances. Alors que ses amis se ventaient d'avoir fait New York, d'avoir vu Big Ben ou la grande muraille, Léo n'avait rien à ce tableau de chasse-là. Jusqu'à l'occasion suprême de l'inauguration du circuit de Tahiti. En effet, aucun de ses petits camarades ne pouvait se vanter d'aller en vacances dans un décor de rêve "pour affaire", de se la couler douce pour un déplacement professionnel...Aussi quand survint la proposition de Melissa, ni une ni deux, Léo accepta.


Et il s'en mordit les doigts. Si Léo n'avait pas envie de partir en vacances, c'est qu'il n'était pas fait pour ça. Et sitôt les pieds à Terre (pas sur le pédalier donc), Léo n'était plus dans son assiette. Chaleur, ennui, manque de repères, manque de ses proches, sensation d'isolement, Léo était accablé. Il l'était d'autant plus qu'en dehors de ses courses d'essais, il devait disputer une autre course, autrement plus pénible, la Course de Tokyo...version Tahitienne. Autant il ne connaissait pas la première (forcément, Japonais d'origine), autant cette version local le fera souffrir.


Voilà mes idées sur le passage. Le texte développé s'annonce d'enfer !

jeudi 12 août 2010

C'est la reprise !

Yeeesssss !!!!!!


Tout d'abord, commençons par un grand merci à MacOS X, à spotlight et à TimeMachine. Et un gros boouuuh à Gmail....


Pourquoi cela : pour des raisons que je ne détaillerais pas ici (je connais mon public =), j'ai du me retrouver à travailler sur plusieurs machines, avec une organisation d'un chaotique à tomber par terre.
Bilan : des doublons de fichiers, des brouillons sur gmail (que j'ai fini par préférer, allez savoir pourquoi, à mon iDisk de MobileMe).


Lorsque je fus en mesure de remettre de l'ordre dans tout ça, je m'aperçus alors qu'un morceau de brouillon avait disparu (eh oui, je suis comme tout le monde, j'arrive à voir clair dans mon bazar !). 


Petit détail, j'ai un fonctionnement assez particulier lors de la rédaction : j'ai beau parler de brouillons, j'écris presque toujours "d'un seul jet", mes retouches concernent principalement l'orthographe, les expressions voire certaines tournures, le plus souvent pour limiter les inévitables répétitions. 
De ce fait,
-un "vrai brouillon" est une idée, une piste que j'abonne complètement (aucune trace dans la trame finale).
-perdre un paragraphe est aussi dramatique que de perdre un chapitre.
J'en étais si gêné que mes tentatives de reprises avortaient quasi-systématiquement, car ce texte (Léo de retour au japon, débarquant chez une invitée surprise) était le texte pour lequel j'étais le plus inspiré.


Or avec le temps libre dont je dispose actuellement, il devenait urgent que je reprenne...et que je retrouve ce brouillon. Gmail a été catégorique, un brouillon supprimé est un brouillon supprimé, impossible de remettre la main de dessus. C'est sans grande conviction que j'essaie une recherche dans Time Machine, malgré mon manque criant d'assiduité dans mes sauvegardes. Et pourtant, Time Machine avait bel et bien mon paragraphe, hourra !


Trève de considérations techniques, je vous en diras plus dans mon prochain billet.