mercredi 21 décembre 2011
Nicolas, l'admirateur secret d'Alana
Autre "détail", J'ai aussi doté Nicolas d'un père très "influent", mais vous en saurez plus là-dessus en temps voulu...
vendredi 16 décembre 2011
Le secret des Elian (EDIT DU 21/12/2011)
Mais venons au sujet du billet. Nos deux jeunes Elian portent depuis ce terrible accident de 1998 un très lourd fardeau. Un secret qui sera presque ébruité fin 2002, du fait d'un sombre procès portant sur l'accident. Le procès en lui-même, dont je peux trop dévoiler l'objet sans risquer de trop en dire, peut paraître et est effectivement "de mauvais goût". Le mois de décembre 2002 marquera la fin d'un calvère pour Alana et Syvlain, une fin qui se fait dans la douleur, et qui pousse Sylvain à confesser son mensonge sur un détail de l'accident à Léo. Un mensonge ? Oui, car Elisabeth Elian n'est morte que le 16 décembre 2002. Mais que s'est-il passé pendant ces trois années ? La réponse dans la version finalisée de DCAA....
samedi 29 octobre 2011
Alors, Sylvain, raconte, comment ils sont mort tes parents ?
Avec les résumés et présentations des personnages que j'ai publié, vous savez tous que les parents de Sylvain et d'Alana sont morts. Beaucoup de mes réflexions actuelles pour DCAA portent sur eux et leur décès. Pour tout vous dire (enfin, l'essentiel en une phrase pour comprendre le pourquoi, pas de détails ici...), j'ai connu personnellement des expériences en rapport avec la mort. Aussi, si le meurtre des parents Elian était avant tout un artéfact pratique, j'ai récupéré l'idée pour traiter de ce sujet plus en détail.
Pour rappel, ces "meurtres", que ce soit celui de Mélissa, ou celui des parents Elian (on peut appeler ça des meurtres, puisque j'aurais pu décider de les laisser en vie), ont précédé de loin mes expériences personnelles. De fait, les descriptions et les commentaires que j'en ai fait étaient pour le moins immatures. Je suis désormais en mesure d'écrire des choses plus cohérentes à ce sujet.
Cette démarche me tient à cœur, car d'une, il faut le dire, mes premiers à-côtés sur le sujet étaient ridicules. De deux, comme on le dit souvent, la mort fait partie de la vie, et c'est une phrase qui prend tout son sens après certaines expériences personnelles. L'idée de cette réécriture sur le sujet n'est pas tant de partager ces expériences, de les faire vivre au lecteur, que de simplement rappeler que ces expériences, pourtant courantes, ne sont pas banales, ni sans conséquences. Pour caricaturer la fin de mon idée (car je ne vais pas continuer à développer des paragraphes la-dessus, je sens que je vous plomberais le moral, si ce n'est déjà fait...), ce sont des expériences qui ne laissent pas indemnes. Et qui ouvrent à deux familles d'issues : celles où le sujet est completement démoli, détruit, et celle où il en sort renforcé. Et peut-être que je peux préciser que je promeus la deuxième famille, espérant moi-même m'y inscrire. Ces expériences, vécues comme des fatalité, doivent être dépassées et ne pas arrêter avec elle le cours de la vie. Il est non-seulement possible de vivre avec, mais même indispensable. On ne doit pas être arrêté par leurs conséquences morales ou matérielles.
(Hmm...plus facile à dire qu'à faire....)
Euh j'en oubliais presque l'idée de départ de mon billet ! Les parents de Sylvain sont morts, certes, mais je ne savais pas comment ni quand, ce que ça a impliqué (du moins j'en avais une vague idée).
Je sais depuis quelques temps que le récit de la journée de l'accident est à jeter. Je viens d'en réécrire un à la fois plus précis, plus pertinent, mieux inséré dans la trame, qui est raconté par Sylvain, qui était "aux premières loges". Sylvain était jusque là muet sur le sujet et même insensible en apparence, c'est en passe d'être corrigé. Ainsi, il y aura deux familles d'échanges, entre Léo et Alana d'abord, entre Sylvain et Léo ensuite. Et peut-être avec d'autres. Une partie aura lieu lors du gala de fin de saison au Japon, événement que j'ai choisi pour délier les langues (Hmm il y a de quoi faire un sujet intéressant sur ce gala !)
Pour la date, je l'ai choisie il y a quelque jours, ce serait début septembre 1999, période très cohérente à plus d'un titre.
Pour les implications, vous connaissez les conséquences les plus importantes (tant pour Sylvain que pour Alana), mais il y a deux trois détails dont j'ai eu l'idée qui préciseront les choses, et j'en dirais plus sur les parents Elian, qui seront au final plus que des "personnages qui sont morts".
Euh...ce ne serait pas un peu anecdotique tout ça ?
Avec le temps, la trame de De Clichy à Annecy évolue, alternant de longues évolutions à peine perceptibles avec des ruptures totales à tel endroit de l'histoire ou sur tel autre sujet. Lorsque j'écris, je ne peut m'empêcher d'y penser, c'est d'ailleurs ce qui est l'origine de cette idée de blog pour parler de mon projet. Mais ce dernier n'est pas le plus adapté pour les retranscrire, étant plus accès sur une présentation des points essentiels de l'œuvre. Or ces anecdotes donnent une saveur particulière à mon travail, et ont quelque chose d'intrinsèquement drôle. Je ne peux pas garder tout cela pour moi, d'une manière ou d'une autre il faudra que je le partage avec vous !
Je vais désormais travailler sur un "recueil" de tous ces changements, et de ce qui les a motivé. Comme mon but initial avec ce blog était de les partager, il n'est pas dit que vous en n'ayez pas ici un avant goût, et je pense d'ailleurs utiliser certains de mes billets comme appui.
samedi 17 septembre 2011
Mettre de l'organisation dans tout ça ! (2/2)
vendredi 16 septembre 2011
Mettre de l'Organisation dans tout ça !
mercredi 17 août 2011
DCAA : Clichy en crise ?
Il s'agit là d'un autre monde, pas simplement d'une autre ville.
Annecy constitue un tout cohérent, bien écrit, qui donne plaisir à lire. Clichy en revanche est une succession de textes courts et complètement décousus. J'ai de très bonnes idées pour Clichy je n'ai simplement pas eu le courage de les écrire.
Dans Clichy, j'ai 9 textes incompatibles avec l'intrigues/mal rédigés, (contre 4 côté Annecy), et je n'ai pas compté ici les textes à insérer dans l'intrigue. Il y a donc la mission concernant les évènements de septembre 2004, ainsi que la refonte de cette partie, afin de revenir au concepts originel : un texte introduit un texte de la partie Annecy. Cela me fait à priori 70 textes à rédiger à partir de 55 textes (dont les 9 que je dois réécrire).
Je n'ai pas encore trouvé le courage de relire l'intégralité de la partie Clichy. Je retentirais ma chance après une pause bien méritée.
mardi 16 août 2011
DCAA : disparition de Sylvain, début de la partie "Clichy"
Le temps est venu pour moi d'avoir quelques séances de réflexion, et de repos ou de recul par rapport au projet...
Point statistiques sur la partie Annecy
J'en ai profité pour mettre à jour mon tableur de statistiques, ce qui donne ceci :
mercredi 27 juillet 2011
Spéciale dédicace à El Pilote
mardi 21 juin 2011
De Clichy À Annecy sur wordpress !
Pour y accéder, cliquez sur le rétrolien !
dimanche 19 juin 2011
De Clichy À Annecy : présentation des camarades de classe du narrateur !!!
Nassia :
Je commence par Nassia car c'est le deuxième personnage que j'ai eu l'idée de créer dans la partie Clichy. Mais je m'écoeure encore et toujours envers mon manque d'originalité dans les motivations de l'instauration de ce personnage ! Mais ce conformisme, je dois le reconnaitre à ma décharge, a été plus subi que choisi. Comment dire, il s'agissait d'un hommage à la personne qui m'a poussé écrire, qui m'a aidé à franchir le pas. Je regrette simplement de l'avoir fait si cruement...
Les excuses et justifications étant présentées, lançons nous dans le vif du sujet : Nassia est donc, comme promis plus haut, une des camardes de classe de Léo. Elle est plutôt charmante, comme l'a pu le remarquer le narrateur, qui d'ailleurs ne comprends pas ce qu'il ressent pour elle (comment le pourraît-il ? c'est sa première fois !). Mais Nassia a avant tout une mère journaliste dans le sport automobile, ce qui plait beaucoup aux garçons de la classe.
Bastien :
Bastien est en quelques sortes le nouveau meilleur ami du narrateur. C'est un élève drôle et sympathique, qui a tout pour mettre ses amis de bonne humeur. Cela se fait parfois contre son gré, du fait par exemple de son affection pour les cuillères à la cantine.
Le narrateur le connait bien car il a été le premier à l'aider à s'intégrer à Clichy, et à apréhender les particularités de la Ville. Étant un "piéton professionnel confirmé", il lui a appris toutes les astuces du méties pour ne pas s'embourber dans la jungle piétonne clichoise. J'ai eu l'idée de ce jeu absurde car je souffre de ce qui ressemble fort à une hémi-négligence partielle, ce qui peut compliquer sérieusement un banal parcours piéton, surtout sur les trottoirs surchargés et étroits de Clichy. Bastien sera l'un des premiers témoins des évènements étranges d'avril, et organisera la soirée sur les Champs Élysées qui sera la transition entre la partie Clichy et celle du couple des vacances, partie dans laquelle il intérviendra à plusieurs reprises d'ailleurs !
Fabrice : Fabrice et un peu l'alter-ego de Bastien, mais il est bien plus secondaire. Je l'évoque ici brièvement car je me suis amusé à un petit exercice. Vous remarquerez que Bastien est issue d'une famille aisée (si vous ne le remarquez pas je ne saurais que faire pour vous...), tandis que la famille de Fabrice est visiblement plus modeste.
Lionel :
Lionel est la tête pensante de la classe. Bon premier de classe, très cultivé, il sait se montrer lui aussi amusant du fait de son naturel sarcastique (voire satirique).
Guillaume :
Guillaume, nom provisoire car je m'étais promis d'éviter d'utiliser de personnes de mon entourage proche, est un peu le méchant de la classe. Il a la salle habitude d'embêter ses camarades notamment ceux qui se défendent le moins, comme Justin et Éric. On pense que c'est le fait qu'il été affecté dans cette classe plutôt que l'autre terminale S où il avait tout ses amis (ça, ça se voit !). Seuls Lionel, puis Doriane lui tienne tête. Les autres l'ignorent royalement.
Éric/Justin/Vincent :
Vous l'avez deviné plus haut, ce sont des élèves plutôt timides voire effacés, mais contrairement à Norad, ils sont souvent victimes d'attaques, que ce soit pour leur maladresse, leur attitude "soumise", voire même par son prénom pour ce qui concerne Justin (je ne vous fais pas un dessin, mais un prénom pareil, c'est un appel du pied aux jeus de mots).
Hélène :
Hélène est une version adoucie de Guillaume, pas spécialement parce que c'est une fille, tout simplement parce qu'on ne fait pas deux Guillaume ! Hélène a des idéaux de ce que devraît être un futur bachelier, et critique fortement ce qui s'en écarte. Elle ne peut s'en prendre trop à Justin qui est pourtant dans sa ligne de mir, car comme lui, elle a un prénom qui, en particulier dans une classe de Terminale S, fait pleuvoir tous les jeux de mots et allusions autour du fameux logarithme.
Doriane :
Un petit mot sur l'origine de Doriane. Doriane est, comme beaucoup d'idées que j'ai eu pour ce projet (comme Hélène ou Justin par exemple) une fantaisie. Une fantaisie dans le sens où je n'avais pas besoin de Doriane pour le scénario. Mais Doriane s'est imposée à moi, comme jamais. Doriane est une réprésentation de ma bienfaitrice de l'époque de son invention, une personne que je trouve sublime bien que je ne sache pas grand chose d'elle.
Doriane a d'abord été la camarade de classe qui a décidé de rendre plus humaines les "vacances" du narrateur (un été seul chez lui avec en tout et pour tout sa console de jeux - comment Doriane aurait-elle pu se doutais qu'à l'intérieur se trouvait Gran Turismo 4 ?). Ce fut l'occasion d'écrire des scènes intriguantes voire surréalistes, mais c'est tout. Puis, en avançant dans la rédaction et dans l'élaboration de l'œuvre, j'ai trouvé un moyen de donner un sens à tout ça. Ce qui était des aventures passionnantes certes mais impromptues ont trouvé une cause, une justification. Au final, on peut résumer le couple de vacances (juillet et août donc) comme "c'est l'histoire de Doriane qui doit faire une révélation de la plus haute importance au narrateur, mais comme elle ne trouve pas les mots/le courage/l'occasion/l'envie car le fait de tourner autour du pot lui a permis de passer des vacances symatiques, et bien...ça donne ça !
Voilà pour les présentation, la prochaine grande étape de publications sera à l'occasion du septième anniversaire du projet (eh oui, déjà !), en septembre, je vous laisse deviner de quoi il s'agira...
vendredi 17 juin 2011
De Clichy À Annecy ? Los sprach über Clichy !
C'est bien beau de promettre implicitement des surprises, autant avoir quelque chose à offrir pour cela. Cette année, contre toute attente (y compris la mienne au début), j'ai décidé de reparler de Clichy.
Je dois donner l'impression de négliger cette partie, car les seules fois que je m'y interesse, c'est pour la partie "Le couple des vacances" (comprendre initialement le couple juillet et août...Ce qui en dit long sur l'intérêt que suscite l'année scolaire pour la rédaction de nouveaux chapitres...).
Cela est du à des raisons "historiques", je m'en expliquerais. Pour faire court, certes, DCAA est né officiellement dans un contexte très Clichois, puisque j'aurais pu être physiquement le narrateur, tel que l'oeuvre décrit ce personnage dans l'espace et dans le temps. Mais DCAA a pris ses bases sur un autre proto-projet, encore plus ancien, qui justifie la partie Annecy, et dont je parlerais très prochainement.
Mais c'est pourtant sur la partie "Clichy" que s'est déclenché le projet. Il s'agissait de l'histoire d'un lycéen qui vivait une désillusion au départ. Oui mais laquelle ? Cela s'est décidé que très récemment, la mort de son meilleur ami. Ce lycéen a un certain gout pour l'écriture, alors il se met à écrire, et décharge les choses peu banales qui lui arrivent. La mort de son ami d'abord, l'évocation de son "pouvoir" secret avec l'étrange souvenir du futur qui le submergera ensuite. Le tout noyé dans un quotidien, qu'il croit alors banal. Il décrit les bizarreries qu'il a découvert à Clichy, comme les comportements piétons ou encore cet engouement pour les ultra-terrestres, produits dérivés d'un épisode très particulier du clown, avant de se concentrer sur sa classe. Les cours. Les profs. Les camarades de classe avec lesquels il s'entend le mieux. Les parties de Gran Turismo 3 qu'il leur livrera. Mais aussi les camarades de classe avec qui il ne s'entend pas du tout, qui provoque des rixes verbales toutefois bon enfant. De quoi faire un récit peu banal, et cela sans compter les évènements étranges que connaîtra le lycée en fin d'année. Si l'affaire que je passe ici sous silence, a eu des conséquences énormes, le narrateur n'en a pas idée, et tout contninue comme avant. Ou presque, car la suite des évènements qui ont eu lieu en cours d'année l'ont rapproché de Doriane, dont il ignore tout pourtant (en dehors du fait qu'elle soit dans sa classe et qu'elle ait un ami étrangement amaxophobe).
Ce petit résumé qui n'en dévoile à peine plus que l'introduction n'est pas le but de ma publication de ce soir, non non non. Il ne sert que de prétexte pour une courte présentation des protagonistes principaux de la partie Annecy ! J'ai commencé avec le narrateur, demain et après demain, ce seront deux autres personnages que je présenterais !
jeudi 14 avril 2011
2003 : arrivée de (deux) FRED
jeudi 24 mars 2011
2003 : retour du Japon et "Facts about Pilotage Passion"
Les promesses les plus ambitieuses sont les plus difficiles à tenir.
Ce truisme me servira d'excuse pour ne pas approfondir dès ce billet la résolution de la chronologie, comme promis précédemment. Je ne voudrais pas faire une nouvelle promesse intenable, mais je souhaite lui dédier un billet...À l'occasion du prochain 17 juin ?
Alors que tout me prédisposait à "oublier temporairement" DCAA, j'ai été pris par un soubresaut d'idées et d'inspirations autour de la période Pilotage Passion, l'association montée par Léo et Sylvain. La situation du diesel en France, qui est à son paroxysme (on ne peut faire pire, et ça ne fera qu'aller mieux, une assertion un peu bizarre mais là n'est pas le sujet), m'a inspiré d'officialiser la démarche du duo dans cette préoccupation, par la visite d'un comité d'éthique. Car Pilotage Passion doit relevé un défi double : protéger l'image du sport automobile, ce qui sous-entend protéger l'image de l'automobile (et donc limiter ses dérivés tels que la diésélisation du parc et l'insécurité routière). Voilà j'en ai trop dit, je passe à la suite...
Pilotage Passion va donc copier la BAD sur un certains nombre d'initiatives, j'écris sur deux d'entre elles en ce moment. Mais il va arriver un certain nombre d'anecdotes, de "facts" (comment traduire cette acception du mot ?), que je suis en train de lister également.
Tout cela se passe donc entre 2003. 2003 marque le retour de Léo en France après sa saison japonaise, pour se consacrer pleinement à Pilotage Passion. Son retour n'a pas été sans péripéties, il suffit de voir l'épisode au cœur du texte "La vraie histoire" avec les sportives du dimanche. Faute de temps, je cite et je vérifierais plus tard si j'ai bien fait référence à cet épisode.
2003, c'est aussi l'année de la course de Gala de Deep Forest. Pourquoi et comment Léo a-t-il participé à cette course. Si jusqu'il y a quelques mois, la réponse adéquate était "parce que je le veux", aujourd'hui, cela découle d'une suite logique d'évènements. Évènements qui s'avère plus ou moins constructifs pour l'intrigue et la description de Léo (génial, donc !). Ce sera d'ailleurs, sauf incidents, l'objet de mon prochain billet.
Enfin, le sus-cité épisode japonais de 2003. J'ai l'impression de me répéter, mais la scène que j'appellerais "la scène de la maison", qui se déroulait initialement avec Caroline (qui la pauvre est la seule "des 4" à n'avoir bénéficié d'aucune forme de résurgence suite à la réforme de décembre 2009), arrivait comme un cheveu sur la soupe. Encore un ? Et oui, j'avais tendance à servir des soupes très chevelues jusque là. C'est de moins en moins vrai. L'épisode de la maison relève désormais de mon génie du double sens. Comprenez par là qu'une lecture de cet intermède japonais vous donnera une version des faits, mais qu'une inspection, une lecture entre les lignes vous en donnera une autre, surprenante à bien des égards...Mais il est peut-être un peu tôt pour parler de ça ?
Prochain billet : Léo victime et agresseur